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Par Anonyme, le 08.10.2010
quand sur 100 chf de bénéfice (souvent comptable), plus de la moitié retourne dans les caisses de l'état, il e
Par Nicolas, le 01.10.2010
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Date de création : 17.09.2010
Dernière mise à jour :
22.10.2010
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M. Patrick Erard démissionnaire pour cause de candidature impromptue, la Commission d’enquête parlementaire (CEP) cherche un nouveau membre et une nouvelle date de remise des résultats des investigations faites concernant l’affaire Frédéric Hainard.
Lors de la prochaine séance du Grand Conseil, mardi 28 septembre, les députés-es se prononceront sur un décret du décret… instituant une CEP qui stipulait notamment que celle-ci devait rendre ses travaux au 31 octobre. Or, le nouveau décret demande la modification suivante : «La commission remet son rapport au Grand Conseil dans les meilleurs délais».
Cette demande de modification est difficilement compréhensible alors même que, dans son communiqué de presse du 10 septembre, la CEP demandait effectivement un délai supplémentaire avec une date-butoir au 30 novembre.
N’essaierait-on pas d’envoyer tout cela aux calendes grecques ? Le ménage étatique serait-il plus compliqué que prévu? Si la CEP a besoin d’un délai supplémentaire, pourquoi ne pas respecter la date du 30 novembre comme proposé dans son communiqué ?
Marc Eichenberger
Conseiller communal
Hainard - Erard : même combat ?
Il en aura fallu du temps pour que M. Hainard prenne conscience des obligations et des devoirs qu’impose la fonction de Conseiller d’Etat. Rien ne semblait avoir prise sur la conception autosuffisante du pouvoir dans laquelle se drapait le jeune ministre.
L’évidence des faits, la gêne des collègues politiciens ou le déballage malsain d’une vie privée étalée publiquement n’ont eu raison de la détermination de l’ancien policier dans sa croisade purificatrice.
C’en était trop pour un Conseil D’Etat humilié, pour un Grand Conseil ridiculisé dans sa faiblesse à exercer le pouvoir. Aux grands maux, les grands moyens : la CEP.
Les partis ont nommé des bourreaux intronisés justicier d’une république décadente. Les résultats ne se sont pas fait attendre : la pression est devenue insoutenable pour un homme seul. Il a mis fin à la chasse en renonçant à sa fonction. Il eu été de bon ton que la dignité tardive de l’ex-ministre soit accompagné d’une réserve toute neuchâteloise de la part des vainqueurs. Il n’en a rien été.
Sans doute galvanisé par sa notoriété toute récente, M. Erard n’a rien trouvé de mieux que de postuler à la succession du ministre déchu. En agissant de la sorte, le député Erard a ruiné le travail pour lequel il a été nommé. La crédibilité d’une CEP composé de député-candidat est tout simplement nulle. Que personne chez ses amis ou dans son parti n’aie eu le bon sens de lui faire comprendre de l’irresponsabilité de sa candidature est inquiétant. La démocratie a certaine règle qui semble ne plus avoir place dans notre canton.
Il reste maintenant à M. Erard, en citoyen responsable, de prendre la décision qui s’impose. Faute de quoi la pertinence de la comparaison entre les deux hommes aura été démontrée.
Le 13.09.2010
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